C’est un véritable conte de fée que nous avons vécu hier soir. Merci à tous ceux qui ont affronté la tempête pour venir écouter notre conte au fil de l’eau.
Merci à tous ceux qui étaient avec nous en pensée, oui, merci pour vos magnifiques messages aussi.
Merci aux journalistes qui de votre plume enjouée avez annoncé l’événement.
Merci au Conservatoire de Musique de Terre Sainte, tant la direction et les élèves talentueux que les enseignants passionnés et enthousiastes, pour les intermèdes musicaux de qualité que vous nous avez offerts.
Merci à tout l’équipage, si j’ose dire, de la Fondation Engelberts, pour nous avoir prêté vos murs chargés d’histoire, pour la magnifique organisation de la soirée, et surtout pour avoir cru en notre projet d’édition et n’avoir pas fait que cela.
Merci à tous ceux qui ont travaillé dans l’ombre et sans qui cette soirée n’aurait eu la même saveur.
Vous étiez pas moins de 80 à partager avec nous, dans une salle prévue pour 50 personnes, le vernissage de notre livre Carpe Diem. Quand vous n’étiez pas assis ou debout dans la salle, vous étiez dans le couloir et même dans l’escalier de style soit, mais escalier tout de même… MERCI !
Merci, tout simplement, MERCI A VOUS TOUS !
Et puis, si vous le permettez, plus personnellement, j’adresse un immense merci à Bernie, mon compagnon, qui subit presque au quotidien mes fabulations artistiques et qui fut pour l’occasion transporteur, électricien, éclairagiste, logisticien, ingénieur son… et m’a supporté en tous points de vues. Merci à Angé qui a ce quelque chose de magique, qui fait que l’on aime être à ses côtés, et puis tout particulièrement MERCI à mon fils Jérémy, qui n’en a jamais douté et à qui je dédie cette belle aventure, cette page de ma vie.
Carpe Diem !
